Si vous n’aimez pas votre ennemi, comment pourrez-vous comprendre ses erreurs et ses choix, les conditions qui l’ont amené à cela et envisager la moindre modification de sa pensée et de ses opinions ? ce qui ne vous oblige nullement d’y adhérer, mais tempère un peu votre jugement. Il s’ensuit que vous mêmes commettiez également moins d’erreurs. Et nous pourrions alors prétendre à une progression de nos esprits, sortir des nœuds inextricables où nous nous enfermons.
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